Bas-reliefs dans une forêt d'éponges
Galerie Iris Clert, Paris, France
15 juin 1959 - 30 juin 1959
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Vernissage de l'exposition "Bas-reliefs dans une forêt d'éponges", Galerie Iris Clert, Paris, 1959Photo : © Louis Peltier
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Vue de l'exposition "Bas-reliefs dans une forêt d'éponges", Galerie Iris Clert, Paris, 1959Photo : © Louis Peltier
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Vue de l'exposition "Bas-reliefs dans une forêt d'éponges", Galerie Iris Clert, Paris, 1959Photo : © Louis Peltier
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Vue de l'exposition "Bas-reliefs dans une forêt d'éponges", Galerie Iris Clert, Paris, 1959Photo : © Louis Peltier
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Vue de l'exposition "Bas-reliefs dans une forêt d'éponges", Galerie Iris Clert, Paris, 1959Photo : © Louis Peltier
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Vue de l'exposition "Bas-reliefs dans une forêt d'éponges", Galerie Iris Clert, Paris, 1959Photo : © Louis Peltier
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Vue de l'exposition "Bas-reliefs dans une forêt d'éponges", Galerie Iris Clert, Paris, 1959Photo : © Louis Peltier
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Iris Clert et Jean Tinguely lors du vernissage de l'exposition "Bas-reliefs dans une forêt d'éponges", Galerie Iris Clert, Paris, 1959Photo : © Louis Peltier
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Vernissage de l'exposition "Bas-reliefs dans une forêt d'éponges", Galerie Iris Clert, Paris, 1959Photo : © Louis Peltier
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Vernissage de l'exposition "Bas-reliefs dans une forêt d'éponges", Galerie Iris Clert, Paris, 1959Photo : © Louis Peltier
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Rotraut Uecker, Iris Clert et Yves Klein lors du vernissage de l'exposition "Bas-reliefs dans une forêt d'éponges", Galerie Iris Clert, Paris, 1959Photo : © Louis Peltier
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Vernissage de l'exposition "Bas-reliefs dans une forêt d'éponges", Galerie Iris Clert, Paris, 1959Photo : © Louis Peltier
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Vue de l'exposition "Bas-reliefs dans une forêt d'éponges", Galerie Iris Clert, Paris, 1959Photo : © Louis Peltier
"Les sculptures éponges – C’est à cette occasion là aussi que j’ai découvert l’éponge. En travaillant à mes tableaux dans mon atelier, j’utilisais parfois des éponges. Elles devenaient bleues très vite, évidemment ! Un jour, je me suis aperçu de la beauté du bleu dans l’éponge ; cet instrument de travail est devenu matière première d’un seul coup pour moi. C’est cette extraordinaire faculté de l’éponge de s’imprégner de quoi que ce soit de fluidique qui m’a séduit. Grâce aux éponges, matière sauvage vivante, j’allais pouvoir faire les portraits des lecteurs de mes monochromes qui, après avoir vu, après avoir voyagé dans le bleu de mes tableaux, en reviennent totalement imprégnés en sensibilité comme des éponges."
Extrait de "Remarques sur quelques œuvres exposées chez Colette Allendy", Yves Klein, Le dépassement de la problématique de l'art et autres écrits, ENSBA, Paris, 2003, p. 54
Extrait de "Remarques sur quelques œuvres exposées chez Colette Allendy", Yves Klein, Le dépassement de la problématique de l'art et autres écrits, ENSBA, Paris, 2003, p. 54